Une seule santé
Concevoir et à mettre en œuvre des programmes, des politiques, des législations et des recherches dans lesquels de multiples secteurs communiquent et travaillent ensemble pour obtenir de meilleurs résultats en matière de santé publique.
Pour détecter efficacement les foyers de zoonoses et les problèmes de sécurité alimentaire, y répondre et les prévenir, il convient de partager les données épidémiologiques et les informations de laboratoire entre les différents secteurs. Les responsables gouvernementaux, les chercheur.se.s et les travailleur.se.s de tous les secteurs aux niveaux local, régional, national et mondial devraient mettre en œuvre des réponses communes aux menaces pour la santé.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) travaillent en étroite collaboration pour promouvoir des réponses multisectorielles aux dangers liés à la santé publique à l’interface entre l’homme, l’animal et l’écosystème et fournir des conseils sur la manière de réduire ces risques.

60% des maladies humaines sont d’origine animale dites-vous. Faut-il comprendre que cela est lié à notre proximité (animaux de compagnie, élevage, soins vétérinaires, etc.) ou bien à la consommation de viande ?
Effectivement ce chiffre ne se limite pas qu’à la consommation de viande mais aussi à la proximité que nous avons avec les animaux.
certes dans les 60% de maladies humaines d’origine animale il y a , comme facteurs de risques, le rapprochement de l’homme à l’animal et la consommation de l’animal par l’homme. ce c’est dernier facteur de risque qui exposent plus l’homme à des épidémies surtout dans les pays envoie de développement où la pauvreté oblige les humains à consommer ce qui est accessible vis à vis de leur moyen financier.